Infographie sur le comportement des professionnels BtoB français face à l’e-mailing de prospection.
Cette étude réalisée par le SNCD auprès de 858 entreprises BtoB révèle l’attitude des professionnels français face à l’emailing de prospection en BtoB mais aussi les bonnes pratiques à mettre en place.
1. Etat des lieux
- 48 % des personnes interrogées disent recevoir entre 20 et 50 emails par jour sur leur messagerie professionnelle
- 34 % sont des emails publicitaires
- 75 % les visualisent en continu via leur ordinateur fixe (23 % via leur mobile, 5 % via leur tablette)
- 80 % consultent leur messagerie professionnelle entre 9 H et 13 H (76 % entre 13 H et 19 H)
- 77 % des personnes interrogées attendent d’un email de prospection de découvrir des nouveautés
2. Comportement des professionnels face à l’e-mailing de prospection
- 60 % des professionnels ouvrent un email parce qu’ils connaissent l’expéditeur ou parce qu’il s’agit d’une personne de confiance
- 59 % des professionnels ouvrent un email parce que l’objet est pertinent ou attractif
- Une fois l’email ouvert, pour 70 % c’est le texte attractif qui retient le plus l’attention et pour 61 % ce sont les images
- 77 % déclarent que les images et les photos ne s’affichent pas systématiquement. Dans ce cas, 51 % suppriment l’email et seulement 22 % téléchargent l’image
- 48 % déclarent aller sur le site internet de l’expéditeur suite à la réception d’un email publicitaire (23 % remplissent un formulaire de contact, 16 % font une demande de devis)
- 42 % ont déjà acheté un produit ou un service suite à la réception d’un email publicitaire
3. Les bonnes pratiques
Pour maximiser les chances de réussite d’un e-mailing publicitaire le marketeur BtoB doit :
- Aider le prospect ou client à gagner en productivité et à économiser
- Etre transparent dans le nom de l’expéditeur
- Utiliser l’objet pour mettre en avant le produit ou l’innovation
- Réaliser des créations agréables visuellement mais aussi lisibles en texte seul
- Travailler sur la confiance du destinataire
- Travailler le post-clic : c’est à dire la page de destination sur le site internet
L’emailing a visiblement plus d’efficacité en B to B, la raison est évidente mais cela ne devrait pas freiner l’émulation. Cette infographie démontre en tout cas que le secteur gagne de plus en plus en maturité